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"LOW" (2015) / LE FILM /

EN EXCLUSIVITE

EDITION "#RESTONSCHEZNOUS"
COURAGE A TOUTES ET TOUS...

Low est l’errance d’un homme dans un Berlin de friches et de restes mémoriaux, de casernes, de camps, de no man’s land et de traversées sensorielles. Un "après la catastrophe" en quelque sorte, telle que personne n'aimerait le vivre en ces jours difficiles d'isolement forcé...

Déambulation hypnotique d’une ombre inspirée à son auteur à la fois par « Le journal de Nathan Adler » de David Bowie (1995), et l’interprétation de ce dernier dans le personnage de Thomas Jérome Newton pour le film de Nicholas Roeg « The Man Who Fell To Earth »  (1976).


Sur la Symphonie de Philip Glass « Low », (empruntée elle-même à l’album éponyme de Bowie - 1976), les images sont une succession de dérives urbaines dont le cœur du voyage est une esthétique de l’angoisse au coeur de cette ville qui se cherche dans le chaos et telle que l’a côtoyée la rock star dans le milieu des années 70. 

En pleine guerre froide et avant que deux grands blocs ne se disloquent, les saignées y sont nombreuses. Ruines, champs de blockhaus, gares abandonnées, Berlin est le personnage central de ce film. Terrain de jeux de toutes les interrogations métaphysiques, ce voyage dans le milieu du crime et de la désolation est la quête d’un passé-présent qui interroge la notion même du monstre enfoui en chacun.

Le chemin aventureux de cette errance est une allégorie fidèle aux mystères de l’identité et à la crise existentielle de l’artiste au cœur de sa propre géographie.  

Présenté dans le cadre du spectacle « Low/Heroes, Un Hyper-Cycle Berlinois » à la Philharmonie de Paris les 7 et 8 Mars 2015 à l’occasion de l’Exposition « David Bowie Is », ce film est diffusé dans les salles de cinéma dans sa version sans orchestre live, mais avec enregistrement d’origine

Renaud Cojo propose un voyage visuel dans un Berlin fantasmé, en noir et blanc, industriel et délabré, tel que Bowie aurait pu le côtoyer à l’époque. Le film est une balade contemplative parmi les ruines, où un homme encapuchonné en parka noire erre à la recherche de souvenirs. Il parcourt la ville en brandissant un néon déniché dans un trou, hanté par la figure d’une jeune fille au sourire presque obscène. Un corps de femme inanimé est mis en scène dans ce qui ressemble à un meurtre rituel. Des visages et des lieux passent à l’écran sans qu’aucun mot ne vienne les fixer. Tout un monde semble en orbite dans une chorégraphie muette, planant au rythme hypnotisant de Philip Glass et la justesse de Bertrand Belin (Ma Culture.fr)

France, Allemagne – 2015- 45 minutes

Format Image : 16 /9 compatible 4/3 – Format son : stéréo

Capture d’écran 2020-03-19 à 17.33.16.pn

Ecriture et Réalisation : Renaud Cojo

Image : Denis Louis

Lui : Bertrand Belin

Baby Grace Blue : Uta Eismann

L’enfant : Oscar Panisset-Barachant

Léon Blank : Eugène Moritz

Algerian Touchshriek : Pierre Barachant

Ramona A Stone : Odile Hautemulle​

Premier infirmier dans le bar : Ronan Favereau

Deuxième infirmier dans le bar : Stéphane Lalloz

Un couple d’amoureux : Amandine Thiriet et Pierre-Jérôme Adjedj

L’homme au blouson de cuir : Flieger Fisher

L’homme qui indique la bonne direction: Fernand Schmitz

La femme « Heroes » : Louise Lecavalier

 

Assistante caméra : Natacha Raymond

Assistant réalisateur et technique : Benoît Arène

Première assistante : Elodie Colin

Deuxième assistante : Cyrielle Bloy

Chef électro : Benjamin Schmidt

Drône : Cornélius Diemer

Cadreuse drône : Anke Riester

Costumes : Odile Béranger

Copiste : Laurence Jérôme

Accessoires : Renaud Cojo

Régie : Pierre-Jérôme Adjedj

Assistant de production : Jeremy Rossi

Administration : Ali Gacem

Montage, Générique et effets : Clément Rière

Conception Néon : Jean-François Ciutat

Post-Production, Etalonnage : Lucie Bruneteau

Photographie Plateau : Pierre-Jérôme Adjedj

Equipe Complémentaire Montréal :

Premier assistant : Laurent Rojol

Assistant caméra : John Lipsz

Construction décor : Jaden Scholes

Studios du Château St Ambroise

 

Production : Spectre Productions en coproduction avec Les Films Jack Fébus et Ouvre le Chien,

Avec la participation du DICRéAM

Avec le soutien du Bureau du Théâtre et de la Danse / Institut Français d’Allemagne

Produit par Cédric Walter et Olivier Marboeuf

Renaud Cojo et Spectre Productions remercient :

Le C.A.P.C de Bordeaux , Werner Borchert du Bunkersdatd Wündsdorf, Le Brücke -Museum de Berlin,  Brandenburgische Boden Gesellschaft für Gründstücksverwaltung und verwertung mbH, Matteo Canalis Wandel de l’Olympiastadion, Bernhardt Hanke du Heilstatte Grabowsee,  Selim et Elif Ceran Du Pallasseum Wohnbauten (Berlin-Schöneberg), Haus der Offiziere à Wündsdorf Waldstadt , Café Neues Ufer (Berlin-Schöneberg), Fernand Schmitz pour le Tippi Land (Spreeufer Weg), Jüdisher Friedhof Weißensee, Hansa Ton Studios (Kreuzberg-Berlin), Hamfelder Hof,  Eve Sälhoff, Mathilde et Elie Fux, Marianne Couranjou, Stella Libert, Jean-François Huchet, Studio du Château (Montréal), Virginie Despentes, Julien Arnaud

Matériel Caméra : Neoncam & Planning Caméra

Post-Production : Philéas Production (Bordeaux)

Matériel Electrique : Bernhard Wunderlich Videoequipmentverleih

Véhicules : Cicar (France), Robben & Wientjes (Berlin)

Plateformes de diffusion : spectacle "Low/Heroes, Un Hyper-Cycle Berlinois", viméo, cinéma (dcp), Festival International du Film Musical de Turin "Seeyousound" (Fev 17), DVD

 

© 2015 Spectre Production – Les Films Jack Fébus  - Ouvre Le Chien

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